Un blog de l’association V.ENS VIVRE ENSEMBLE

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Un bel exemple de cohabitation réussie entre chasseurs et amoureux de la nature dans la vallée du Chassezac

Dans un monde où la nature est de plus en plus sollicitée, il est essentiel de trouver des solutions qui permettent à tous ses usagers de cohabiter harmonieusement. C’est avec cet esprit de collaboration et de respect mutuel que l’association V.ENS VIVRE ENSEMBLE et l’ACCA des ASSIONS ont pris une initiative exemplaire dans la vallée du Chassezac, au lieu-dit La Molette.

Une collaboration fructueuse pour un bien-être partagé

La collaboration entre ces deux associations montre que, lorsque des dialogues ouverts et bienveillants sont engagés, il est tout à fait possible de concilier différentes activités. Dans cette vallée magnifique, les chasseurs et les promeneurs se partagent désormais l’espace en toute sérénité.

Le compromis trouvé est simple, mais terriblement efficace. Deux jours par semaine, le jeudi et le dimanche, sont désormais réservés à la pratique de la chasse en bordure du Chassezac. Ces jours sont spécifiquement dédiés à cette activité, permettant ainsi aux chasseurs de profiter de leur passion en toute sécurité, tout en laissant les autres usagers de la nature profiter pleinement de ces espaces les autres jours de la semaine.

Un respect mutuel qui renforce la communauté

Les autres jours de la semaine sont ainsi consacrés aux promeneurs, chercheurs de champignons, et amoureux de la nature en général. Cette répartition intelligente des usages a renforcé la compréhension et le respect mutuel entre les différentes communautés qui partagent ces magnifiques espaces naturels.

Les chasseurs peuvent profiter de leur activité favorite sans craindre de déranger les promeneurs, et ces derniers savent qu’ils disposent de jours spécifiques pour se ressourcer en pleine nature sans risque d’interférence. Une solution qui satisfait tout le monde !

Un modèle à suivre ?

Cet exemple de la vallée du Chassezac prouve que l’harmonie entre les usagers de la nature est non seulement possible, mais qu’elle peut aussi être source de bien-être collectif. La clé ? Une communication ouverte et une volonté de comprendre les besoins de chacun.

Cette initiative pourrait bien servir d’inspiration. Pourquoi ne pas prendre exemple sur cette belle collaboration et œuvrer pour un équilibre entre les pratiques respectueuses de l’environnement et du voisinage et les besoins des différents acteurs locaux ?

Continuons sur cette voie, pour un environnement où tout le monde peut coexister dans le respect et la sérénité !

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